7 points vitaux pour devenir un écrivain à succès

Comment devenir un écrivain à succès

Alex Spiga

Son blog : Vie de Web Alexandre est consultant web marketing. Il accompagne les blogueurs et travailleurs indépendants (et ceux qui sont prêts à se lancer !) à développer et pérenniser leur activité en ligne. Il apporte son expertise sur les domaines stratégique, mindset et opérationnel.

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16 réponses

  1. Agnès dit :

    Merci ! Bel article inspirant, professionnel et intelligent. Vous passez le message que tout est possible, et ça fait un bien fou ! Je vais de ce (petit) pas mettre en pratique et vous dédicacerai mon futur livre pas encore écrit mais déjà en germe grâce à vos conseils.

    • Alex Spiga dit :

      Hello Agnès ! « Pour Alex et Sophie » dans l’intro de ton prochain livre, ca me va 🙂 Merci pour ton commentaire, et vive les petits pas !

  2. Cédric Noumbissie dit :

    Hey! salut!
    j’ai trouvé l’article très intéressant. Personnellement, je mets déjà en application un certains nombre d’astuces citées dans l’article telles que trouver un créneau pour écrire (bien qu’il soit encore très court), lire beaucoup. Mais j’avoue avoir encore beaucoup de lacunes. Je suis trop souvent connecté à internet et le moindre bip de mon téléphone me déconnecte souvent de l’écriture d’un article. Je dois aussi apprendre à prendre plus de notes (je me prends souvent à tort pour un super héros quand il s’agit de retenir sans noter). utiliser de la musique pour me concentrer, ça aussi je le fais déjà (mais je viens de découvrir les focus music). La difficulté que j’ai est le fait qu’un collègue choisit toujours le moment où je décide de me concentrer pour rédiger un article pour venir lancer une discussion avec moi (avoir des bureaux communs n’a pas que des avantages). La méthode Kaizen, c’est Top! Je vais commencer à la pratiquer.
    Merci pour l’article. Allez je me déconnecte… et je vais écrire

    • Alex Spiga dit :

      Hello Cédric, merci pour ton commentaire !
      Concernant le smartphone, tu sais ce que je fais ? Quand je me lève, je le laisse en mode avion et allume mon ordi pour écrire. Du coup, il reste sagement dans son coin. Essaie de geeker quand tu fais une pause, ou sens que ton moment créatif est terminé, c’est trop dommage d’abimer ce moment où le cerveau est dispo avec des notifications.
      Moi aussi j’ai encore des lacunes. Je me disperse très vite. Par exemple quand je cherche des sources pour étayer certains points, je me retrouve à lire un article en entier, etc. Certes c’est intéressant mais je n’étais pas là pour ca… Mais le principal c’est de faire en sorte de s’améliorer tous les jours ! ++

  3. Sabrina dit :

    Hey, ho ! Sophie tu nous a déniché un bon truc encore ! T’arrêtes pas ! Le japon t’a ressourcé dis donc !
    En tout cas, Alex, merci beaucoup pour cette article que j’ai aimé lire. J’aime bien l’idée du Keizen. J’écris et lis aussi pas mal en écoutant de la musique de méditation ou de la musique qui chante pas ou peu (genre j’ai un cd de musique africaine que je kiff et que j’aime bien mettre parfois pour lire ou écrire). Ta playlist est pas mal en tout cas. Ton petit rituel est cool aussi, je fais pareil mais pas tout le temps (malheureusement, contre ma volonté) et pas forcement non plus dans le même ordre. Mais suis d’accord sur le fait qu’écrire à jeun et tôt le matin est bénéfique pour moi aussi, même si moi c’est surtout la nuit en ce moment que je suis la plus productive. Puis, lire pour mieux écrire c’est exactement ce que je dis tout le temps. Pour moi, lire va de paire avec l’écriture. C’est obligatoire. Lire nous enrichit et nous fait vivre mieux. Avec l’enrichissement, on développe nos connaissances et approfondit notre propre style pour l’écriture. On apprend toujours des autres, tu l’as dit et c’est valable pour tout domaines d’ailleurs.

    Merci pour ce partage.

    • Coucou Sabrina !

      J’ai une patate d’enfer. 🙂

      Moi aussi j’aime bien la méthode Kaizen. J’aime aussi Ikigai, pour rester Japonais jusqu’au bout.

      À plus !

      • Sabrina dit :

        Je viens de voir ce qu’était exactement Ikigai et je comprend pourquoi tu aime aussi cette philosophie de vie. Je pense que même si on ne le connait pas sous ce nom, on le pratique tous les jours. Malheureusement, certain n’ont pas trouvé leur Ikigai ou ne peuvent le pratiquer … j’ai trouvé l’explication sur : http://letudiantmalin.com/ikigai-trouver-passion/ est-ce que c’est aussi ton interprétation ?

      • Oui, c’est bien dans ma vision de l’ikigai. 🙂

    • Alex Spiga dit :

      Merci pour ton retour Sabrina, content que l’article t’ait plu.
      Consommer (s’enrichir) pour produire (créer) derrière, l’un ne va pas sans l’autre, c’est sûr !
      Quant à la musique, ca permet de rester dans le « flow » et concentré, à l’occasion j’écouterai du son africain voir ce que ca donne.

      • Sabrina dit :

        Tout a fait d’accord avec tout !

        J’espère que tu trouveras un bon flow dans la musique africaine… après, c’est spécial (comme certains autres styles).

  4. Sylvi dit :

    Comme dans les films de science fiction, on dit, il aura des oreilles pointues, la peau bleu et habitera sur Mars. c’est super, ça fait bien sur l’écran, mais ça n’existe pas ! Alors notre client idéale c’est pareil, il n’existe pas ! On l’invente mais c’est une fiction. Comment inventer un client idéal qui existe ?

    • Alex Spiga dit :

      Pas besoin de l’inventer Sylvi, il « suffit » de le trouver !
      Il est quelque part en ligne, dans la rue, derrière son bureau. Il existe bel et bien.
      En fonction de nos compétences, notre savoir, nos points forts, il faut démarcher ceux qui sont intéressés par notre offre, ceux qui en ont besoin, et leur montrer qu’on peut résoudre leur problème.
      En ligne, on peut les trouver en fouillant sur les blogs, les forums, les groupes Facebook de notre thématique, et en tenant un blog.
      En « réel », on cible les professionnels vivant dans notre zone de chalandise et on leur propose nos services.
      Ce client idéal, il existe et il est différent pour chacun.
      Le définir permet surtout d’éviter de s’éparpiller à essayer de plaire à quelqu’un qu’on intéresse pas (et qui ne nous intéresse pas non plus). C’est un 1er ciblage, qui peut-être approximatif au départ et qui s’affinera par la suite (même si les oreilles pointues et la peau bleue sont déjà des critères bien sélectifs !).

  5. Fanny dit :

    Un bel article inspirant : trouver sa routine, son lecteur idéal, lire (j’ajouterai comme un auteur…) et chercher à s’améliorer. Merci pour les outils. Justement je m’interrogeais sur le côté « romantique » des auteurs français. Je suis boquée sur le fait de me lancer, d’être lue, d’être critiquée… Mais je me soigne. Merci à toi et bonne journée

    • Alex Spiga dit :

      Oui… à partir du moment où on s’expose (en ligne ou ailleurs) à travers ses écrits, photos, points de vue, il faut accepter d’être critiquée. Pas forcément évident au début, mais de toutes façons on ne peut pas plaire à tout le monde ! Autant donc être soi même afin de trouver son audience et pour les autres… on s’en fout !

  6. Nathalie Dufour dit :

    Merci Alex pour ces bons conseils, il est vrai que j’ai peur d’être banal et de n’intéresser personne pourtant lorsque je me lis je m’apprécie. Pas très modeste mais reel.Je suis juste un peu feignante ou manque de temps. En tous les cas tes conseils me reboustent car la belle idée que l on a et que l on oublie est tellement réaliste du vécu au quotidien.
    Belle journée à toi

    • Alex Spiga dit :

      Si ca peut te remotiver c’est top ! Vraiment, croire qu’on peut avancer un peu tous les jours est important… parce que c’est vrai ! Il faut juste lancer la machine. Merci pour ton commentaire Nathalie

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